La pollution atmosphérique en France - Faits et chiffres
Les problématiques environnementales ont pris une place de plus en plus importante dans les débats sociétaux en France. Les Français sont notamment préoccupés par le réchauffement climatique (48 %) et la pollution de l’air (33 %).
En 2012, on comptabilisait plus de 50.000 décès en France dus à la pollution atmosphérique, dont la grande majorité était provoquée par les particules fines. La lutte contre la pollution de l’air emploie un nombre important de personnes (6.800 en 2014). Cependant, ce nombre a diminué puisqu’il décomptait plus de 8.000 en 2008.
La loi pour la transition énergétique et les engagements issus de l’Accord de Paris sur le climat doivent inciter la France à réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Entre 2005 et 2014, les émissions françaises ont diminué, passant de 550 millions de tonnes d’équivalent CO2 à 475 millions. Est-ce suffisant pour atteindre les objectifs de réduction des émissions de 80 % d’ici 2050 ? La réduction des émissions de dioxyde de carbone de 30 millions de tonnes entre 2008 et 2013 est-elle satisfaisante ? Beaucoup de questions se posent quant à l'avenir de la situation atmosphérique.
Il est important de noter qu’en 2013, près de 50 % des émissions totales de CO2 étaient dues aux activités des ménages. Autre constatation inquiétante, l’augmentation de l’exposition de la population urbaine aux particules fines (PM 2,5 et PM 10) entre 2004 et 2013. En revanche, le point positif est que l’exposition à la pollution de l’air par l’ozone a légèrement baissé, passant de plus de 4.000 microgrammes par mètre cube jour en 2004 à moins de 3.800 en 2013.
En 2012, on comptabilisait plus de 50.000 décès en France dus à la pollution atmosphérique, dont la grande majorité était provoquée par les particules fines. La lutte contre la pollution de l’air emploie un nombre important de personnes (6.800 en 2014). Cependant, ce nombre a diminué puisqu’il décomptait plus de 8.000 en 2008.
La loi pour la transition énergétique et les engagements issus de l’Accord de Paris sur le climat doivent inciter la France à réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Entre 2005 et 2014, les émissions françaises ont diminué, passant de 550 millions de tonnes d’équivalent CO2 à 475 millions. Est-ce suffisant pour atteindre les objectifs de réduction des émissions de 80 % d’ici 2050 ? La réduction des émissions de dioxyde de carbone de 30 millions de tonnes entre 2008 et 2013 est-elle satisfaisante ? Beaucoup de questions se posent quant à l'avenir de la situation atmosphérique.
Il est important de noter qu’en 2013, près de 50 % des émissions totales de CO2 étaient dues aux activités des ménages. Autre constatation inquiétante, l’augmentation de l’exposition de la population urbaine aux particules fines (PM 2,5 et PM 10) entre 2004 et 2013. En revanche, le point positif est que l’exposition à la pollution de l’air par l’ozone a légèrement baissé, passant de plus de 4.000 microgrammes par mètre cube jour en 2004 à moins de 3.800 en 2013.
