
Dès lors, la question des demandeurs d’emploi est au cœur de la vie politique et pour les différents gouvernements qui se sont succédés à la tête du pays.
La répartition des chômeurs n’est pas uniforme sur tous le territoire français, et certaines régions se voient plus touchées que d’autres : ainsi, le Nord-Pas-de-Calais-Picardie affiche un taux de chômage de 10 %, tandis que la Bretagne ou l’Île-de-France gravitent autout des 7 %.
En outre, certaines catégories de population sont plus vulnérables : le taux de chômage parmi les jeunes de 15-24 ans était d'environ 20 % en 2019. Les hommes sont aussi plus nombreux que les femmes à être inscrits à Pôle emploi. Enfin, les immigrés sont manifestement surreprésentés parmi les demandeurs d’emploi.
Si toutes les catégories socioprofessionnelles sont de plus en plus touchées par le chômage, le risque de se retrouver sans travail reste cependant très prévalent au sein des populations non diplômées.
Néanmoins, signe d'une potentielle accalmie, le chômage de longue durée connaît une baisse progressive mais continue depuis 2017.
Le Pôle emploi est l’organisme qui a vocation à lutter contre la hausse du nombre de chômeurs en France. Bien que cette administration dispose d’environ 850 agences réparties sur l’espace hexagonal, un seul et même conseiller Pôle emploi peut souvent être amené à suivre plus de 100 chômeurs. Une situation problématique et tendue qui pousse plus de 30 % des salariés de Pôle emploi à penser que le fonctionnement de l’établissement se dégrade, tandis que bien plus de la moitié d’entre eux admettent avoir déjà subi l’agressivité des chercheurs d’emploi dont ils assumaient le suivi.
Afin de soutenir tous ces demandeurs d’emploi dont la proportion va en grandissant, l’État français dispose d’outils tels que les allocations chômage. En 2018, plus de trois millions de personnes étaient couvertes par l’Assurance chômage. En moyenne, les personnes indemnisées perçoivent 1.207 euros par mois.
La répartition des chômeurs n’est pas uniforme sur tous le territoire français, et certaines régions se voient plus touchées que d’autres : ainsi, le Nord-Pas-de-Calais-Picardie affiche un taux de chômage de 10 %, tandis que la Bretagne ou l’Île-de-France gravitent autout des 7 %.
En outre, certaines catégories de population sont plus vulnérables : le taux de chômage parmi les jeunes de 15-24 ans était d'environ 20 % en 2019. Les hommes sont aussi plus nombreux que les femmes à être inscrits à Pôle emploi. Enfin, les immigrés sont manifestement surreprésentés parmi les demandeurs d’emploi.
Si toutes les catégories socioprofessionnelles sont de plus en plus touchées par le chômage, le risque de se retrouver sans travail reste cependant très prévalent au sein des populations non diplômées.
Néanmoins, signe d'une potentielle accalmie, le chômage de longue durée connaît une baisse progressive mais continue depuis 2017.
Le Pôle emploi est l’organisme qui a vocation à lutter contre la hausse du nombre de chômeurs en France. Bien que cette administration dispose d’environ 850 agences réparties sur l’espace hexagonal, un seul et même conseiller Pôle emploi peut souvent être amené à suivre plus de 100 chômeurs. Une situation problématique et tendue qui pousse plus de 30 % des salariés de Pôle emploi à penser que le fonctionnement de l’établissement se dégrade, tandis que bien plus de la moitié d’entre eux admettent avoir déjà subi l’agressivité des chercheurs d’emploi dont ils assumaient le suivi.
Afin de soutenir tous ces demandeurs d’emploi dont la proportion va en grandissant, l’État français dispose d’outils tels que les allocations chômage. En 2018, plus de trois millions de personnes étaient couvertes par l’Assurance chômage. En moyenne, les personnes indemnisées perçoivent 1.207 euros par mois.