
En France, pour pouvoir exercer en freelance, il est obligatoire d’être enregistré en tant qu’entreprise. Ainsi, la majorité des freelances français optent pour le statut de micro-entrepreneur (autrefois appelé auto-entrepreneur).
Le freelance a le vent en poupe : depuis 2013, le nombre de travailleurs indépendants n’a cessé de croître et a dépassé les 3,2 millions en 2019. En effet, séduits par la liberté que le travail en freelance semble offrir par rapport au salariat, de plus en plus d’actifs se lancent à leur compte, et particulièrement les jeunes de 25 à 35 ans.
Il est vrai que les avantages du travail indépendant sont nombreux : autonomie dans l’organisation du travail, choix des missions et des clients, horaires de travail libres et rémunération flexible.
Or, le freelance souffre de certains inconvénients comme le manque de stabilité (les missions ne se suivent pas forcément les unes après les autres, ce qui entraîne alors une absence de revenus), voire même une certaine précarité. Le revenu mensuel moyen d’un auto-entrepreneur en France ne dépasse pas les 500 euros. C’est d’ailleurs cet aspect qui freine particulièrement les Français dans leur désir de travailler à leur compte.
Cette forme de travail force aussi le freelance à endosser plusieurs rôles très différents afin d’assurer le bon déroulement de son activité : entre la prospection de nouveaux clients, rédaction de contrats, le marketing, la gestion administrative et la comptabilité, nombreuses sont les compétences à développer.
Le travail en freelance concerne d’ailleurs majoritairement une population éduquée : 45 % d’entre eux sont diplômés d’un master qui exercent essentiellement dans des secteurs liés au design, à la création et à la communication.
Se lancer dans le micro-entreprenariat semble pourtant à la portée de chacun : la majorité des auto-entrepreneurs français se sont lancés seuls, n’avaient aucune expérience préalable dans la création d’entreprise, ne disposaient d’aucun capital social de départ et affirment n’avoir rencontré aucune difficulté particulière.
L’essor du freelance pourrait-il alors sonner le glas du traditionnel salariat ? A priori, non. Car malgré un développement indéniable et une certaine simplicité administrative, 58 % des Français n’ont aucune intention de sauter le pas, un chiffre encore plus élevé chez les cadres.
Le freelance a le vent en poupe : depuis 2013, le nombre de travailleurs indépendants n’a cessé de croître et a dépassé les 3,2 millions en 2019. En effet, séduits par la liberté que le travail en freelance semble offrir par rapport au salariat, de plus en plus d’actifs se lancent à leur compte, et particulièrement les jeunes de 25 à 35 ans.
Il est vrai que les avantages du travail indépendant sont nombreux : autonomie dans l’organisation du travail, choix des missions et des clients, horaires de travail libres et rémunération flexible.
Or, le freelance souffre de certains inconvénients comme le manque de stabilité (les missions ne se suivent pas forcément les unes après les autres, ce qui entraîne alors une absence de revenus), voire même une certaine précarité. Le revenu mensuel moyen d’un auto-entrepreneur en France ne dépasse pas les 500 euros. C’est d’ailleurs cet aspect qui freine particulièrement les Français dans leur désir de travailler à leur compte.
Cette forme de travail force aussi le freelance à endosser plusieurs rôles très différents afin d’assurer le bon déroulement de son activité : entre la prospection de nouveaux clients, rédaction de contrats, le marketing, la gestion administrative et la comptabilité, nombreuses sont les compétences à développer.
Le travail en freelance concerne d’ailleurs majoritairement une population éduquée : 45 % d’entre eux sont diplômés d’un master qui exercent essentiellement dans des secteurs liés au design, à la création et à la communication.
Se lancer dans le micro-entreprenariat semble pourtant à la portée de chacun : la majorité des auto-entrepreneurs français se sont lancés seuls, n’avaient aucune expérience préalable dans la création d’entreprise, ne disposaient d’aucun capital social de départ et affirment n’avoir rencontré aucune difficulté particulière.
L’essor du freelance pourrait-il alors sonner le glas du traditionnel salariat ? A priori, non. Car malgré un développement indéniable et une certaine simplicité administrative, 58 % des Français n’ont aucune intention de sauter le pas, un chiffre encore plus élevé chez les cadres.