Opinion publique sur l'affaire dite Benalla en France juillet 2018
Cette statistique montre l'opinion publique face à l'affaire dite Benalla en France en juillet 2018.
Cette affaire désigne un scandale d'État ayant éclaté au mois de juillet 2018 après un article du journal Le Monde dévoilant qu'Alexandre Benalla, un proche collaborateur, plus précisément chargé de sécurité, du Président de la République Emmanuel Macron a été identifié en train d'agresser violemment deux individus en marge des manifestations du 1er mai. Si M. Benalla était autorisé par l'Élysée à assister à ces démonstrations, il ne l'était qu'en qualité d'observateur et n'avait donc pas le droit d'intervenir directement avec les CRS présents sur le terrain.
Suite aux révélations concernant cet épisode, le pouvoir exécutif a annoncé avoir déjà sanctionné le chargé de sécurité du Président français par une mise à pied de 15 jours sans salaire et une rétrogradation à l'organisation interne de l'Élysée. Or, de nombreux clichés ont montré M. Benalla présent lors de plusieurs événements publics.
Suite au tollé que cette affaire a provoqué, la justice a ouvert une enquête et l'Assemblée nationale a rassemblé une Commission d'enquête.
Si cette affaire fait grand bruit, selon les commentateurs et éditorialistes français, c'est qu'elle met au jour l'inaction du gouvernement face aux débordements de M. Benalla alors qu'il en avait été tenu au courant dès le 2 mai, un manque de lisibilité quant aux sanctions mises en place à l'encontre du proche collaborateur, soupçonné d'être protégé par M. Macron, ainsi que d'une gestion du pouvoir très centralisée de la part du Président. De nombreux médias ont vu dans cette affaire un scandale d'État provoquant une crise politique.
Et de fait, 80 % des Français se sont dit choqués par cette affaire, donc 49 % très choqués.
Cette affaire désigne un scandale d'État ayant éclaté au mois de juillet 2018 après un article du journal Le Monde dévoilant qu'Alexandre Benalla, un proche collaborateur, plus précisément chargé de sécurité, du Président de la République Emmanuel Macron a été identifié en train d'agresser violemment deux individus en marge des manifestations du 1er mai. Si M. Benalla était autorisé par l'Élysée à assister à ces démonstrations, il ne l'était qu'en qualité d'observateur et n'avait donc pas le droit d'intervenir directement avec les CRS présents sur le terrain.
Suite aux révélations concernant cet épisode, le pouvoir exécutif a annoncé avoir déjà sanctionné le chargé de sécurité du Président français par une mise à pied de 15 jours sans salaire et une rétrogradation à l'organisation interne de l'Élysée. Or, de nombreux clichés ont montré M. Benalla présent lors de plusieurs événements publics.
Suite au tollé que cette affaire a provoqué, la justice a ouvert une enquête et l'Assemblée nationale a rassemblé une Commission d'enquête.
Si cette affaire fait grand bruit, selon les commentateurs et éditorialistes français, c'est qu'elle met au jour l'inaction du gouvernement face aux débordements de M. Benalla alors qu'il en avait été tenu au courant dès le 2 mai, un manque de lisibilité quant aux sanctions mises en place à l'encontre du proche collaborateur, soupçonné d'être protégé par M. Macron, ainsi que d'une gestion du pouvoir très centralisée de la part du Président. De nombreux médias ont vu dans cette affaire un scandale d'État provoquant une crise politique.
Et de fait, 80 % des Français se sont dit choqués par cette affaire, donc 49 % très choqués.
