
C'est avec la loi relative à la transition énergétique (et pour la croissance verte), que les Français se sont fixés des grands objectifs pour adopter un nouveau modèle et ainsi faire avancer les choses. Ainsi, pour l'année 2023, elle vise une augmentation de la puissance installée des énergies renouvelables pour la production d'électricité et plus de 19 millions de tonnes d'équivalent pétrole d'énergie renouvelable consommée par la chaleur. La même année, la consommation totale d'énergie de la France devrait avoir baissé à moins de 140 millions de tonnes d'équivalent pétrole.
L'empreinte carbone de la consommation française sur notre planète s'élevait à plus de 500 millions de tonnes de CO2 soit 8,3 tonnes de CO2 par personne en 2015. Dans le cadre de la stratégie nationale "bas-carbone", la France a mis en place des plafonds d’émissions de gaz à effet de serre sur le territoire national par période successive de quatre, puis cinq ans. Cette stratégie devrait occasionner une baisse des émissions de près de 30 % à l'horizon de 2028 (par rapport aux chiffres de 2013). Le budget carbone français de 2024 à 2028 est fixé à 358 millions de tonnes d'équivalent CO2.
Cependant, la transition énergétique n'implique pas seulement la décarbonisation et un passage aux énergies renouvelables, mais demande aussi une conception nouvelle de nos modes de vie. Avec des mesures d’efficacité et sobriété énergétique, l’intensité énergétique de l’économie française, qui s’élevait à environ 120 kilogrammes d'équivalent pétrole par 1.000 euros en 2015, pourrait être baissée.
Plus de 90 % des Français souhaitent plus de soutien publique pour augmenter l'efficacité énergétique, c'est-à-dire réduire la consommation des énergies. Ainsi, la décentralisation de la production de l'énergie a enregistré une accélération ces dernières années. Selon une estimation, environ 20.000 foyers français auto-consommaient leur propre électricité au début de l'année 2017 et 75 % des Français se déclaraient être prêts à adapter leurs habitudes de consommation d'électricité à une production locale.
En même temps, une étude de l'association Virage-énergie Nord-Pas de Calais de 2013 démontre des possibilités de réduction de consommation d'énergie finale de différents secteurs dans une démarche de sobriété énergétique et de transformation sociétale.
L'empreinte carbone de la consommation française sur notre planète s'élevait à plus de 500 millions de tonnes de CO2 soit 8,3 tonnes de CO2 par personne en 2015. Dans le cadre de la stratégie nationale "bas-carbone", la France a mis en place des plafonds d’émissions de gaz à effet de serre sur le territoire national par période successive de quatre, puis cinq ans. Cette stratégie devrait occasionner une baisse des émissions de près de 30 % à l'horizon de 2028 (par rapport aux chiffres de 2013). Le budget carbone français de 2024 à 2028 est fixé à 358 millions de tonnes d'équivalent CO2.
Cependant, la transition énergétique n'implique pas seulement la décarbonisation et un passage aux énergies renouvelables, mais demande aussi une conception nouvelle de nos modes de vie. Avec des mesures d’efficacité et sobriété énergétique, l’intensité énergétique de l’économie française, qui s’élevait à environ 120 kilogrammes d'équivalent pétrole par 1.000 euros en 2015, pourrait être baissée.
Plus de 90 % des Français souhaitent plus de soutien publique pour augmenter l'efficacité énergétique, c'est-à-dire réduire la consommation des énergies. Ainsi, la décentralisation de la production de l'énergie a enregistré une accélération ces dernières années. Selon une estimation, environ 20.000 foyers français auto-consommaient leur propre électricité au début de l'année 2017 et 75 % des Français se déclaraient être prêts à adapter leurs habitudes de consommation d'électricité à une production locale.
En même temps, une étude de l'association Virage-énergie Nord-Pas de Calais de 2013 démontre des possibilités de réduction de consommation d'énergie finale de différents secteurs dans une démarche de sobriété énergétique et de transformation sociétale.