L'exposition aux "fake news" dans le monde
Fake news
L’Assemblée nationale a adopté cette semaine deux articles qui permettront une surveillance renforcée des « fake news » durant les périodes électorales. Ces propositions de lois relatives à la manipulation de l’information sont très controversées et doivent encore passer l’examen du Sénat.
Les « fake news » étaient également un sujet important du dernier Reuters Institute Digital News Report. En effet, l’étude a examiné la confiance et la désinformation dans la consommation de l'information à travers le monde.
Selon Reuters, les Turcs sont les plus nombreux à rapporter avoir été exposés à de fausses informations en cours de la semaine précédant l’étude, avec 49 % de répondants. Le chiffre est également élevé aux États-Unis (31 %), où le phénomène « fake news » s’est amplifié pendant l'élection présidentielle de 2016 et persiste depuis. Quant à la France, elle semble relativement épargnée en comparaison à d’autres pays comme l’Espagne ou la Corée du Sud : seuls 16 % des répondants rapportent une exposition à de fausses informations.
Les « fake news » étaient également un sujet important du dernier Reuters Institute Digital News Report. En effet, l’étude a examiné la confiance et la désinformation dans la consommation de l'information à travers le monde.
Selon Reuters, les Turcs sont les plus nombreux à rapporter avoir été exposés à de fausses informations en cours de la semaine précédant l’étude, avec 49 % de répondants. Le chiffre est également élevé aux États-Unis (31 %), où le phénomène « fake news » s’est amplifié pendant l'élection présidentielle de 2016 et persiste depuis. Quant à la France, elle semble relativement épargnée en comparaison à d’autres pays comme l’Espagne ou la Corée du Sud : seuls 16 % des répondants rapportent une exposition à de fausses informations.