
On estime qu’il y aurait aujourd’hui 593 millions d’objets connectés portables en circulation dans le monde et que ce chiffre devrait doubler à l’horizon 2020. En France, la valeur de ce marché s'élevait à environ 1,4 milliard d'euros, soit dix fois plus que quatre ans auparavant.
L’idée d’une société où les humains et les objets seraient des interlocuteurs ne relève plus de l’utopie, c’est la société dans laquelle nous vivons actuellement. Un type d’objet connecté souvent cité est le bracelet connecté, également appelé capteurs d’activité ou traqueurs d’activité, qui transmet des informations concernant l’activité physique de son porteur à son smartphone via une connexion Bluetooth. Parmi les propriétaire d'un montre connectée avec une fonction fitness, suivi d'activité ou de sommeil, 24 % avait opté pour un produit Apple.
Le développement de ces objets ne fait cependant pas l’unanimité. Les informations transmises par un objet connecté à une application sont d’une manière ou une autre stockées, que ce soit sur le smartphone de l’utilisateur ou dans les serveurs du fabricant de cet objet. Or, ces données sont personnelles, elles peuvent par exemple porter sur la santé d’un individu, son poids, les lieux où il se rend, ou même la vitesse à laquelle il conduit, et ce dernier n’est pas toujours au courant qu’une tierce personne pourrait théoriquement les consulter. Un sondage mené en 2018 révèle ainsi que 30 % des répondants se sont déclarés très inquiets vis-à-vis de l'utilisation des données personnelles avec les objets connectés.
L’idée d’une société où les humains et les objets seraient des interlocuteurs ne relève plus de l’utopie, c’est la société dans laquelle nous vivons actuellement. Un type d’objet connecté souvent cité est le bracelet connecté, également appelé capteurs d’activité ou traqueurs d’activité, qui transmet des informations concernant l’activité physique de son porteur à son smartphone via une connexion Bluetooth. Parmi les propriétaire d'un montre connectée avec une fonction fitness, suivi d'activité ou de sommeil, 24 % avait opté pour un produit Apple.
Le développement de ces objets ne fait cependant pas l’unanimité. Les informations transmises par un objet connecté à une application sont d’une manière ou une autre stockées, que ce soit sur le smartphone de l’utilisateur ou dans les serveurs du fabricant de cet objet. Or, ces données sont personnelles, elles peuvent par exemple porter sur la santé d’un individu, son poids, les lieux où il se rend, ou même la vitesse à laquelle il conduit, et ce dernier n’est pas toujours au courant qu’une tierce personne pourrait théoriquement les consulter. Un sondage mené en 2018 révèle ainsi que 30 % des répondants se sont déclarés très inquiets vis-à-vis de l'utilisation des données personnelles avec les objets connectés.