Le Venezuela - Faits et chiffres
Le Venezuela, pays pétrolier qui fut le plus riche d’Amérique latine, se trouve maintenant à la croisée des chemins politiques. Deux hommes se disputent le pouvoir du pays : le président élu Nicolas Maduro, successeur du très populaire et défunt Hugo Chávez, – qui n’est pas reconnu par une partie de la communauté internationale – et son opposant Juan Guaido, soutenu par certains pays européens, la plupart des États latino-américains et les États-Unis.
Avec environ 30 millions d’habitants, le Venezuela est devenu l’un des pays les plus pauvres du monde. Selon les dernières données de la Banque mondiale, plus de 30 % de la population totale vénézuélienne vivait sous le seuil de pauvreté. En outre, la crise pétrolière et la situation politique actuelle n’ont pas aidé à améliorer les conditions de travail dans le pays : le taux de chômage a augmenté considérablement ces dernières années, passant de 8,51 % en 2010 à presque 30 % en 2018, la dette nationale représente un quart de son produit intérieur brut et la dette extérieure ne parvient pas à reprendre son souffle.
Étant donné que le problème semble loin de se résoudre et que la corruption fait loi, les Vénézuéliens ont pris l’initiative d’émigrer. Les habitants du pays sud-américain ne se sentent plus en sécurité lorsqu’ils se promènent dans les rues et ils n'ont plus confiance dans la justice et à son système judiciaire. Le nombre de morts par rébellion était de plus de 7.500 en 2018. Pour cette raison, et celles citées auparavant, on assiste à des vagues d’émigrants vénézuéliens qui saisissent toutes sortes d’opportunités pour quitter leur pays et mettre le pied sur un nouveau, en vue de recommencer leurs vies.
Le poids de la crise vénézulienne dans le monde pèse lourd. Non seulement la politique est en jeu, mais aussi l’économie de tous ceux qui côtoient le Venezuela de près ou de loin. En définitive, tous les regards sont tournés vers ce pays qui possède une bonne partie des réserves de pétrole du monde.
Avec environ 30 millions d’habitants, le Venezuela est devenu l’un des pays les plus pauvres du monde. Selon les dernières données de la Banque mondiale, plus de 30 % de la population totale vénézuélienne vivait sous le seuil de pauvreté. En outre, la crise pétrolière et la situation politique actuelle n’ont pas aidé à améliorer les conditions de travail dans le pays : le taux de chômage a augmenté considérablement ces dernières années, passant de 8,51 % en 2010 à presque 30 % en 2018, la dette nationale représente un quart de son produit intérieur brut et la dette extérieure ne parvient pas à reprendre son souffle.
Étant donné que le problème semble loin de se résoudre et que la corruption fait loi, les Vénézuéliens ont pris l’initiative d’émigrer. Les habitants du pays sud-américain ne se sentent plus en sécurité lorsqu’ils se promènent dans les rues et ils n'ont plus confiance dans la justice et à son système judiciaire. Le nombre de morts par rébellion était de plus de 7.500 en 2018. Pour cette raison, et celles citées auparavant, on assiste à des vagues d’émigrants vénézuéliens qui saisissent toutes sortes d’opportunités pour quitter leur pays et mettre le pied sur un nouveau, en vue de recommencer leurs vies.
Le poids de la crise vénézulienne dans le monde pèse lourd. Non seulement la politique est en jeu, mais aussi l’économie de tous ceux qui côtoient le Venezuela de près ou de loin. En définitive, tous les regards sont tournés vers ce pays qui possède une bonne partie des réserves de pétrole du monde.
