
Selon les données fournies par Eurostat, la France est en pôle position au palmarès des dépenses publiques de l’Union européenne. Partageant le haut du classement avec la Finlande et la Belgique, l’Hexagone consacre en effet plus de 50 % de son produit intérieur brut en dépenses publiques. De ce fait, le PIB du pays s’est vu durement touché ces dernières années puisque son taux de croissance ne dépassait pas 1,7 % en 2018. D’autre part, suite à la crise de 2008, les indicateurs d’emploi ont peu varié entre le début de l'année 2013 et fin 2018 –le taux de chômage s’est maintenu à environ 10%. Sur ce point, la France reste à la traîne par rapport à ses partenaires européens.
Il est rare d’entendre de bonnes nouvelles sur l'économie mondiale de nos jours, mais celui-ci commence lentement à se rétablir. À l'échelle hexagonale, la relative bonne tenue des exportations constitue un soutien actif à l’économie française. L’Allemagne et l'Espagne sont devenues les principaux partenaires d'exportation du pays, suivis de nations voisines comme l’Italie et le Royaume-Uni. D'un autre côté, une grande partie des importations françaises proviennent de Chine, deuxième partenaire à l’importation, après l’Allemagne, et celles-ci se composent principalement de produits informatiques, électroniques et optiques, et de produits textiles. La Chine est d'ailleurs non seulement un pays de poids pour la France, mais également un client essentiel dans le monde.
Afin de trouver une stabilité financière, malgré les aléas de la vie économique, le pays s’est engagé à réhabiliter son économie et à veiller sur son peuple. La France a toujours occupé une place importante parmi les sept pays les plus industrialisés du monde, et fera de son mieux pour y rester.