
En 2016, près de 30 % des malwares dans le monde étaient hébergés sur des serveurs localisés aux États-Unis. Certaines attaques sont menées à grande échelle. Ainsi, le nombre moyen d’identités exposées par faille informatique dans le monde approchait le million. Une cyber-attaque nécessite généralement un code d’exploitation, celui-ci se cache ensuite dans une application installée sur le support utilisé. Ainsi, près de 50 % des codes d’exploitation utilisés se trouvaient dans le navigateur internet. L’entreprise de sécurité Kaspersky a identifié que les comptes personnels en ligne les plus visés par les cyber-criminels étaient les e-mails (44 %) et les médias sociaux (42 %), nettement devant les comptes d’achats en ligne ou encore bancaires.
Cela n’a rien de surprenant quand on observe que les particuliers consultent régulièrement leurs e-mails (86 %) ou encore leurs profils en ligne (67 %) via ordinateur. On remarque d’ailleurs que les particuliers se préoccupent prioritairement de leurs mots de passe. Ainsi, 50 % des utilisateurs craignaient de se faire voler un mot de passe. Pour évoquer le cas français, il est intéressant de noter que plus des trois quarts des internautes estiment qu’Internet met en danger leur vie privée. On trouve la même proportion de Français soucieux de la collecte de leurs données personnelles par les moteurs de recherche.
La sécurité des systèmes d’information (SSI) concerne évidemment les entreprises, et plus particulièrement les secteurs industriels (dont 30 % des dirigeants se sentent exposés). Entre piratage et espionnage industriel, celles-ci constituent des cibles particulièrement vulnérables sans un investissement adapté en matière de cyber-sécurité. Pourtant, on remarque qu’en 2016, près de 40 % des entreprises de plus de 200 salariés ne réalisaient aucune veille permanente en SSI. Plus d’un quart d’entre-elles dépensaient moins d’1 % de leur budget informatique dans la sécurité.
Cela n’a rien de surprenant quand on observe que les particuliers consultent régulièrement leurs e-mails (86 %) ou encore leurs profils en ligne (67 %) via ordinateur. On remarque d’ailleurs que les particuliers se préoccupent prioritairement de leurs mots de passe. Ainsi, 50 % des utilisateurs craignaient de se faire voler un mot de passe. Pour évoquer le cas français, il est intéressant de noter que plus des trois quarts des internautes estiment qu’Internet met en danger leur vie privée. On trouve la même proportion de Français soucieux de la collecte de leurs données personnelles par les moteurs de recherche.
La sécurité des systèmes d’information (SSI) concerne évidemment les entreprises, et plus particulièrement les secteurs industriels (dont 30 % des dirigeants se sentent exposés). Entre piratage et espionnage industriel, celles-ci constituent des cibles particulièrement vulnérables sans un investissement adapté en matière de cyber-sécurité. Pourtant, on remarque qu’en 2016, près de 40 % des entreprises de plus de 200 salariés ne réalisaient aucune veille permanente en SSI. Plus d’un quart d’entre-elles dépensaient moins d’1 % de leur budget informatique dans la sécurité.