Entre afflux et fuite des cerveaux
Flux de capital humain
Des chiffres publiés récemment par Eurostat révèlent que le nombre de scientifiques et ingénieurs dans l’Union européenne a augmenté de 2 % entre 2016 et 2017. Ils sont aujourd’hui 16,5 millions et représentent 21 % de l’ensemble des employés du secteur des sciences et technologies.
Le rapport montre également la répartition des scientifiques et ingénieurs par pays au sein de l’UE. Ainsi, le Royaume-Uni et l’Allemagne hébergent chacun 19 % du total de l’UE, soit à eux deux plus du tiers des scientifiques de l’Union alors que leur population totale ne représente que 29 % de l’ensemble. Ces pays semblent donc être actuellement les destinations les plus attractives pour les "cerveaux".
La France compte quant à elle 10 % des scientifiques et ingénieurs de l’Union européenne, cela représente un déficit de 3 % par rapport à la part de sa population au sein de l’UE. C'est l’Italie qui semble subir la fuite des cerveaux la plus significative : avec une population presque aussi nombreuse que la France, elle ne compte que 6 % des scientifiques et ingénieurs de l’UE.
Le rapport montre également la répartition des scientifiques et ingénieurs par pays au sein de l’UE. Ainsi, le Royaume-Uni et l’Allemagne hébergent chacun 19 % du total de l’UE, soit à eux deux plus du tiers des scientifiques de l’Union alors que leur population totale ne représente que 29 % de l’ensemble. Ces pays semblent donc être actuellement les destinations les plus attractives pour les "cerveaux".
La France compte quant à elle 10 % des scientifiques et ingénieurs de l’Union européenne, cela représente un déficit de 3 % par rapport à la part de sa population au sein de l’UE. C'est l’Italie qui semble subir la fuite des cerveaux la plus significative : avec une population presque aussi nombreuse que la France, elle ne compte que 6 % des scientifiques et ingénieurs de l’UE.