La semaine dernière, le service leader des VTC Uber perdait sa licence londonienne, ce qui lui interdit de circuler dans la ville après le 30 septembre. Si le géant américain avait alors immédiatement annoncé qu'il ferait appel de cette décision, le nouveau PDG du groupe, Dara Khosrowshahi, vient de présenter ses excuses aux Londoniens, dans lesquelles il reconnaissait des erreurs, ne remettant tout de même pas en question sa décision de faire appel.
Banni de la capitale britannique, Uber cherche donc à sauver sa peau. Car le Royaume-Uni n'est pas le premier pays - et probablement pas le dernier - à être confronté à une interdiction partielle ou totale de ses services.
Comme le met en avant notre graphique Statista, Uber a rencontré des difficultés dans de nombreux pays, notamment en Europe : en Hongrie, Bulgarie et au Danemark, Uber est actuellement interdit, par exemple. Dans l'Hexagone, la justice a déjà interdit le service UberPop et même dans son pays d'origine, les États-Unis, le service a été suspendu dans certains États.
Les pays qui refusent de laisser le volant à Uber
Interdiction à Londres
Description
Ce graphique indique les pays où le service de VTC Uber est confronté à une interdiction totale ou partielle.
