
Ces dernières années, le nombre de catastrophes naturelles dans le monde semble augmenter. Le réchauffement climatique, qui se perpétue de façon inexorable, n’y est certainement pas étranger.
L’Asie est le continent le plus concerné par les catastrophes naturelles de toutes sortes, qu’elles soient climatologiques, géophysique, hydrologiques ou météorologiques. C’est en effet le continent le plus affecté autant pour le nombre de désastres qui le touchent que pour le nombre de victimes qu’ils ont engendrées.
Toutefois, en 2019, le pays le plus souvent touché par les catastrophes naturelles était les États-Unis, qui a été frappée 20 fois cette année-là. Mais s’il y a bien une nation pour laquelle les pertes financières ont été les plus importantes, c'est le Japon : en 2019, ils ont subi deux des désastres environnementaux les plus coûteux au monde.
À ce jour, la catastrophe naturelle la plus meurtrière au monde depuis 1980 est le tsunami qui a ravagé la Thaïlande en décembre 2004 et a entraîné la mort de 220.000 personnes. Mais la plus coûteuse de l’histoire est le tsunami qui a touché le Japon en 2011, provoquant une crise nucléaire comparable à celle de Tchernobyl en 1986.
Les types de catastrophes naturelles sont très divers et peuvent être dévastateurs.
Par exemple, les tremblements de terre d’une magnitude d’au moins cinq sur l’échelle de Richter semble survenir moins souvent qu’à l’accoutumée depuis 2012. Jusqu’à présent, le plus puissant jamais enregistré a eu lieu au Chili en 1960, avec une magnitude de 9,5.
Si l’on entend souvent parler des fortes tempêtes aux États-Unis, c’est encore une fois l’Asie qui a connu les pires : en 1970, un cyclone a fait 300.000 victimes au Bangladesh. Quant aux inondations, elles peuvent, elles aussi, être très meurtrières : en 1931, 3,7 millions de Chinois ont péri.
Si elle est relativement protégée des pires désastres naturels ayant cours dans le monde, la France n’est pas épargnée pour autant : les vagues de chaleur en 2003, 2006 et 2015 ont au total induit le décès de plus de 24.000 personnes, essentiellement des personnes âgées.
Bien que les catastrophes environnementales soient souvent considérées comme des événements naturels hors du contrôle de l'Homme, l'activité humaine peut être considérée comme responsable de certains désastres. Ainsi, les feux de forêt ayant cours au sein de la forêt amazonienne sont provoqués par l'homme afin d'agrandir la surface de terres arables pour des cultures telles que l'huile de palme. Ces incendies, qui deviennent parfois incontrôlables, privent ainsi non seulement la planète de sa plus importante source d'oxygène, mais menacent en outre la biodiversité ainsi que les populations autochtones locales.
Par ailleurs, une large majorité d'experts s'entendent pour affirmer que l'activité anthropique (usage d'énergies fossiles, agriculture intensive) entraîne une hausse des températures sur Terre, un phénomène qui, selon les climatologues, pourrait occasionner une augmentation de la fréquence des ouragans et autres phénomènes météorologiques extrêmes dans le futur. Ainsi, les années 2019 et 2020, qui figurent parmi les plus chaudes du siècle dernier, a vu naître des incendies d'une ampleur et d'une intensité exceptionnelles en Australie et ce, notamment en raison d'une sécheresse importante.
L’Asie est le continent le plus concerné par les catastrophes naturelles de toutes sortes, qu’elles soient climatologiques, géophysique, hydrologiques ou météorologiques. C’est en effet le continent le plus affecté autant pour le nombre de désastres qui le touchent que pour le nombre de victimes qu’ils ont engendrées.
Toutefois, en 2019, le pays le plus souvent touché par les catastrophes naturelles était les États-Unis, qui a été frappée 20 fois cette année-là. Mais s’il y a bien une nation pour laquelle les pertes financières ont été les plus importantes, c'est le Japon : en 2019, ils ont subi deux des désastres environnementaux les plus coûteux au monde.
À ce jour, la catastrophe naturelle la plus meurtrière au monde depuis 1980 est le tsunami qui a ravagé la Thaïlande en décembre 2004 et a entraîné la mort de 220.000 personnes. Mais la plus coûteuse de l’histoire est le tsunami qui a touché le Japon en 2011, provoquant une crise nucléaire comparable à celle de Tchernobyl en 1986.
Les types de catastrophes naturelles sont très divers et peuvent être dévastateurs.
Par exemple, les tremblements de terre d’une magnitude d’au moins cinq sur l’échelle de Richter semble survenir moins souvent qu’à l’accoutumée depuis 2012. Jusqu’à présent, le plus puissant jamais enregistré a eu lieu au Chili en 1960, avec une magnitude de 9,5.
Si l’on entend souvent parler des fortes tempêtes aux États-Unis, c’est encore une fois l’Asie qui a connu les pires : en 1970, un cyclone a fait 300.000 victimes au Bangladesh. Quant aux inondations, elles peuvent, elles aussi, être très meurtrières : en 1931, 3,7 millions de Chinois ont péri.
Si elle est relativement protégée des pires désastres naturels ayant cours dans le monde, la France n’est pas épargnée pour autant : les vagues de chaleur en 2003, 2006 et 2015 ont au total induit le décès de plus de 24.000 personnes, essentiellement des personnes âgées.
Bien que les catastrophes environnementales soient souvent considérées comme des événements naturels hors du contrôle de l'Homme, l'activité humaine peut être considérée comme responsable de certains désastres. Ainsi, les feux de forêt ayant cours au sein de la forêt amazonienne sont provoqués par l'homme afin d'agrandir la surface de terres arables pour des cultures telles que l'huile de palme. Ces incendies, qui deviennent parfois incontrôlables, privent ainsi non seulement la planète de sa plus importante source d'oxygène, mais menacent en outre la biodiversité ainsi que les populations autochtones locales.
Par ailleurs, une large majorité d'experts s'entendent pour affirmer que l'activité anthropique (usage d'énergies fossiles, agriculture intensive) entraîne une hausse des températures sur Terre, un phénomène qui, selon les climatologues, pourrait occasionner une augmentation de la fréquence des ouragans et autres phénomènes météorologiques extrêmes dans le futur. Ainsi, les années 2019 et 2020, qui figurent parmi les plus chaudes du siècle dernier, a vu naître des incendies d'une ampleur et d'une intensité exceptionnelles en Australie et ce, notamment en raison d'une sécheresse importante.