
En économie, deux types d’agents se distinguent : les actifs et les inactifs. La population active désigne l’ensemble des personnes en âge de travailler disponibles sur le marché du travail, qu’elles aient un emploi ou non. Ainsi, les personnes au chômage cherchant activement un emploi (donc inscrites au Pôle Emploi) sont considérées comme actives. Ne font donc pas partie des actifs les jeunes de moins de 15 ans, les étudiants ne travaillant pas en complément de leurs études, les femmes au foyer, les personnes handicapées ne pouvant exercer d’activité, les retraités ne travaillant pas en complément de leur retraite, etc.
Ainsi, les actifs ayant un emploi (ou actifs occupés) sont au nombre de 26,8 millions, soit 65,5 % de la population, tandis que les actifs sans emploi représentent 6,1 % de la population. La part d’inactifs, elle, atteint 28,3 %. Au total, la part de personnes actives s’élève à 71,7 % dans tout l’Hexagone.
Il est donc capital de différencier le taux d’activité et le taux d’emploi : l’un désigne la population en mesure de travailler (qu’elle ait un emploi ou non) et le second prend uniquement en compte les personnes en âge de travailler ayant un emploi. Car si le taux d’activité s’élève à 71,7 %, le taux d’emploi, lui, stagne autour des 65 %.
Le tertiaire est, et depuis plusieurs décennies, devenu le secteur économique incontournable des pays occidentaux. Il représente ainsi presque 76 % de l’emploi en France.
Les chiffres de l’emploi mettent ainsi en lumière certaines inégalités : les hommes ont plus tendance à être employés que les femmes, de même que les 25-49 ans sont plus favorisés que les séniors sur le marché du travail et les immigrés moins nombreux à avoir un emploi que les personnes n’ayant aucun lien avec l’immigration.
Par ailleurs, alors que moins de 8 % des hommes travaillent à temps partiel, cette proportion monte à plus de 30 % chez les femmes. De même, les immigrés sont plus concernés par les emplois à temps partiel que les autres.
Malgré une précarisation grandissante de l’emploi, le contrat à durée indéterminée (CDI) reste majoritaire, quoiqu'en baisse : environ 75 % des actifs sont employés sous ce régime. Une donnée à nuancer pourtant chez les jeunes de moins de 25 ans, dont plus du quart sont embauchés en contrat à durée déterminée (CDD).
Concernant le temps de travail, les Français travaillent en moyenne plus de 37 heures par semaines et peuvent faire jusqu’à 40 heures supplémentaires par an.
Au fil des années, alors que le salaire annuel moyen des Français a augmenté de façon régulière pour atteindre 39.099 euros en 2019. Il en est de même pour le salaire minimum (SMIC) qui a augmenté en 2021 à 10,25 euros par heure de travail.
Ainsi, les actifs ayant un emploi (ou actifs occupés) sont au nombre de 26,8 millions, soit 65,5 % de la population, tandis que les actifs sans emploi représentent 6,1 % de la population. La part d’inactifs, elle, atteint 28,3 %. Au total, la part de personnes actives s’élève à 71,7 % dans tout l’Hexagone.
Il est donc capital de différencier le taux d’activité et le taux d’emploi : l’un désigne la population en mesure de travailler (qu’elle ait un emploi ou non) et le second prend uniquement en compte les personnes en âge de travailler ayant un emploi. Car si le taux d’activité s’élève à 71,7 %, le taux d’emploi, lui, stagne autour des 65 %.
Le tertiaire est, et depuis plusieurs décennies, devenu le secteur économique incontournable des pays occidentaux. Il représente ainsi presque 76 % de l’emploi en France.
Les chiffres de l’emploi mettent ainsi en lumière certaines inégalités : les hommes ont plus tendance à être employés que les femmes, de même que les 25-49 ans sont plus favorisés que les séniors sur le marché du travail et les immigrés moins nombreux à avoir un emploi que les personnes n’ayant aucun lien avec l’immigration.
Par ailleurs, alors que moins de 8 % des hommes travaillent à temps partiel, cette proportion monte à plus de 30 % chez les femmes. De même, les immigrés sont plus concernés par les emplois à temps partiel que les autres.
Malgré une précarisation grandissante de l’emploi, le contrat à durée indéterminée (CDI) reste majoritaire, quoiqu'en baisse : environ 75 % des actifs sont employés sous ce régime. Une donnée à nuancer pourtant chez les jeunes de moins de 25 ans, dont plus du quart sont embauchés en contrat à durée déterminée (CDD).
Concernant le temps de travail, les Français travaillent en moyenne plus de 37 heures par semaines et peuvent faire jusqu’à 40 heures supplémentaires par an.
Au fil des années, alors que le salaire annuel moyen des Français a augmenté de façon régulière pour atteindre 39.099 euros en 2019. Il en est de même pour le salaire minimum (SMIC) qui a augmenté en 2021 à 10,25 euros par heure de travail.