Santé mentale des étudiants et non-étudiants en France lors de la pandémie de COVID
Les analyses menées entre mars 2020 et janvier 2021 par Confins montrent que les étudiants présentent des fréquences plus élevées de troubles psychiques que les non-étudiants, notamment de symptômes dépressifs (37 % contre 20%), d’anxiété (28 % contre 17 %) et de pensées suicidaires (13 % contre 8 %).
Cette analyse de comparaison tend à indiquer que, même si toute la population française a été affectée par la crise sanitaire et les restrictions associées, les étudiants pourraient avoir constitué une population particulièrement vulnérable, notamment au cours des périodes de confinement.
Cette analyse de comparaison tend à indiquer que, même si toute la population française a été affectée par la crise sanitaire et les restrictions associées, les étudiants pourraient avoir constitué une population particulièrement vulnérable, notamment au cours des périodes de confinement.
