Réseaux sociaux : que savent-ils sur nous ?
Protection des données en ligne
Lors d’une intervention à la conférence Digital-Life-Design de Munich, la directrice des opérations de Facebook, Sheryl Sandberg, a fait son mea culpa pour tenter de regagner la confiance du grand public après des mois de controverses sur la protection des informations personnelles des utilisateurs du réseau social. Elle a notamment déclaré : « nous devons mettre fin plus rapidement aux abus et faire mieux pour protéger les données des gens. Nous avons reconnu nos erreurs. ».
Facebook s’était retrouvé dans la tourmente l’année dernière lorsqu’avait éclaté le scandale Cambridge Analytica. L’agence de consulting politique avait collecté et exploité à leur insu les données personnelles de 87 millions d’utilisateurs Facebook lors de la campagne électorale de Donald Trump.
Un sondage réalisé par Pew Research Center aux États-Unis révèle que les utilisateurs des réseaux sociaux ne sont désormais plus dupes. Ils sont une grande majorité à considérer qu’il est facile pour les plateformes qu’ils utilisent de déterminer un certain nombre de leurs informations privées, telles que leur origine ethnique (84 %), leurs passe-temps et intérêts (79 %), leurs affinités politiques (71 %) ou leurs croyances religieuses (65 %).
Facebook s’était retrouvé dans la tourmente l’année dernière lorsqu’avait éclaté le scandale Cambridge Analytica. L’agence de consulting politique avait collecté et exploité à leur insu les données personnelles de 87 millions d’utilisateurs Facebook lors de la campagne électorale de Donald Trump.
Un sondage réalisé par Pew Research Center aux États-Unis révèle que les utilisateurs des réseaux sociaux ne sont désormais plus dupes. Ils sont une grande majorité à considérer qu’il est facile pour les plateformes qu’ils utilisent de déterminer un certain nombre de leurs informations privées, telles que leur origine ethnique (84 %), leurs passe-temps et intérêts (79 %), leurs affinités politiques (71 %) ou leurs croyances religieuses (65 %).