Le prix du baril de pétrole, un enjeu à géométrie variable
Réunion de l'OPEP
Les pays de l’OPEP se réunissent aujourd’hui pour des négociations qui s’annoncent difficiles : ses membres, auxquels s’ajoutent la Russie et le Kazakhstan, cherchent à défendre des intérêts économiques nationaux peu compatibles. Ainsi, l’Arabie saoudite souhaite voir la production mondiale de pétrole augmenter, contrairement à l’Iran.
De récentes données, notamment relayées par Bloomberg, indiquent d’ailleurs que les pays producteurs de pétrole visent un prix au baril variant entre 223 dollars (Vénézuela) et 40 dollars (Russie) afin d’assurer l’équilibre de leur budget national.
Actuellement, le prix du baril de Brent est fixé à 74 dollars – relativement satisfaisant pour des pays comme l’Angola ou l’Iran, il l’est moins pour les pays soumis à des instabilités ou au contraire bénéficiant d’une solide industrie pétrolière.
De récentes données, notamment relayées par Bloomberg, indiquent d’ailleurs que les pays producteurs de pétrole visent un prix au baril variant entre 223 dollars (Vénézuela) et 40 dollars (Russie) afin d’assurer l’équilibre de leur budget national.
Actuellement, le prix du baril de Brent est fixé à 74 dollars – relativement satisfaisant pour des pays comme l’Angola ou l’Iran, il l’est moins pour les pays soumis à des instabilités ou au contraire bénéficiant d’une solide industrie pétrolière.