La montée des groupes de haine aux États-Unis
Violences à Charlottesville
Trump se trouve de nouveau dans la tourmente après les événements de Charlottesville : alors qu’une femme a été tuée par un militant d’extrême-droite lors d’un rassemblement contre le racisme, le Président des États-Unis a été jugé trop indulgent vis-à-vis des suprématistes blancs et néo-nazis.
Les critiques pleuvent donc à l’encontre de Trump, déjà accusés plusieurs fois de libérer la parole raciste. Les États-Unis font d’ailleurs face à une recrudescence alarmante du nombre de groupes de haine d’après les données du Southern Poverty Law Center.
Alors que moins de 500 groupes étaient dénombrés en 1999, un pic était atteint en 2011 avec 1 018 groupes de haine identifiés. La baisse qui s’ensuivit fut de courte durée et les années 2015-2016 ont été marquées par une nouvelle hausse de ces mouvements, notamment anti-Musulmans.
Les critiques pleuvent donc à l’encontre de Trump, déjà accusés plusieurs fois de libérer la parole raciste. Les États-Unis font d’ailleurs face à une recrudescence alarmante du nombre de groupes de haine d’après les données du Southern Poverty Law Center.
Alors que moins de 500 groupes étaient dénombrés en 1999, un pic était atteint en 2011 avec 1 018 groupes de haine identifiés. La baisse qui s’ensuivit fut de courte durée et les années 2015-2016 ont été marquées par une nouvelle hausse de ces mouvements, notamment anti-Musulmans.