
Les Français savent aussi qu'ils ont, en tant qu'individu, un rôle à jouer dans sa préservation. Ainsi, 85 % des Français sont attentifs aux éventuelles fuites d'eau dans leur logement et presque 40 % d'entre eux vérifient régulièrement l'index de leur compteur d'eau afin de préserver les ressources en eau. Compte tenu des prévisions, annonçant une multiplication par deux de la demande mondiale en eau d'ici 2030, une meilleure gestion de notre consommation d'eau semble indispensable.
Sur le plan macro-économique, la consommation française en eau s’élevait à 40 milliards de mètre cubes en 2007. l'Hexagone se reposait en partie sur des prélèvements d’eau à l’étranger car, seulement 32 milliards de mètre cubes d'eau étaient prélevés sur le territoire français. La majorité des eaux souterraines prélevées en France sont destinées à l'approvisionnement en eau potable. Tandis que les eaux superficielles sont presque entièrement prélevées pour le secteur énergétique.
En France, près de 27 milliards d'euros ont été dépensés en faveur de l'eau et des milieux aquatiques, dont environ 500 millions d'euros pour l'entretien et la restauration des écosystèmes aquatiques, c'est-à-dire pour les lacs, cours d'eau ainsi que les zones inondables et humides comme les marais et les tourbières. Entre 2000 et 2010, l'état général de conservation des zones humides s'est dégradé dans près de la moitié des sites enquêtés. En effet, selon une étude menée entre 2007 et 2012, près de 40 % des espèces et habitats remarquables des écosystèmes humides et aquatiques français étaient endommagés.
En ce qui concerne les mers et océans, deux tiers des Français pensent que les mesures prisent par les pouvoirs publics pour les protéger ne sont pas suffisantes et qu'il faudrait qu'on adopte des pratiques plus respectueuses de l'environnement marin. D'après l'opinion de 80 % des Français, les mers et océans sont en mauvaise santé. Les Français identifient les rejets en provenance de la terre et le transport maritime comme principales raisons de la pollution maritime. En revanche, certains progrès ont pu être enregistrés entre 2000 et 2012 concernant la concentration du cadmium et du plomb dans le milieu marin, puisque la présence de ces derniers dans les eaux a diminué .
Au sujet de la pollution agricole des cours d'eau, les herbicides sont les pesticides majoritairement détectés en métropole ainsi que dans les DOM, puisqu'environ 40 % des pesticides détectés dans les rivières sont des insecticides. Malgré tout, près de la moitié des masses d'eau de surface étaient dans un bon état chimique de même pour l'état écologique.
Sur le plan macro-économique, la consommation française en eau s’élevait à 40 milliards de mètre cubes en 2007. l'Hexagone se reposait en partie sur des prélèvements d’eau à l’étranger car, seulement 32 milliards de mètre cubes d'eau étaient prélevés sur le territoire français. La majorité des eaux souterraines prélevées en France sont destinées à l'approvisionnement en eau potable. Tandis que les eaux superficielles sont presque entièrement prélevées pour le secteur énergétique.
En France, près de 27 milliards d'euros ont été dépensés en faveur de l'eau et des milieux aquatiques, dont environ 500 millions d'euros pour l'entretien et la restauration des écosystèmes aquatiques, c'est-à-dire pour les lacs, cours d'eau ainsi que les zones inondables et humides comme les marais et les tourbières. Entre 2000 et 2010, l'état général de conservation des zones humides s'est dégradé dans près de la moitié des sites enquêtés. En effet, selon une étude menée entre 2007 et 2012, près de 40 % des espèces et habitats remarquables des écosystèmes humides et aquatiques français étaient endommagés.
En ce qui concerne les mers et océans, deux tiers des Français pensent que les mesures prisent par les pouvoirs publics pour les protéger ne sont pas suffisantes et qu'il faudrait qu'on adopte des pratiques plus respectueuses de l'environnement marin. D'après l'opinion de 80 % des Français, les mers et océans sont en mauvaise santé. Les Français identifient les rejets en provenance de la terre et le transport maritime comme principales raisons de la pollution maritime. En revanche, certains progrès ont pu être enregistrés entre 2000 et 2012 concernant la concentration du cadmium et du plomb dans le milieu marin, puisque la présence de ces derniers dans les eaux a diminué .
Au sujet de la pollution agricole des cours d'eau, les herbicides sont les pesticides majoritairement détectés en métropole ainsi que dans les DOM, puisqu'environ 40 % des pesticides détectés dans les rivières sont des insecticides. Malgré tout, près de la moitié des masses d'eau de surface étaient dans un bon état chimique de même pour l'état écologique.