Et si Facebook avait demandé la permission ?
Scandale Cambridge Analytica
Et si Facebook avait demandé à ses utilisateurs s'ils accepteraient le partage de leurs données, peut-être que Mark Zuckerberg serait un peu moins dans le pétrin aujourd'hui lors de son interrogatoire devant le Congrès américain ?
Comme l'indique une étude réalisée en 2017 par le cabinet GfK, dans certains pays les internautes se montrent peu sceptiques à l'égard du partage de leurs données personnelles contre une récompense.
Les Français, eux, ne sont pas prêts de renoncer à la confidentialité de leurs données personnelles, d’après les résultats de cette étude menée dans 17 pays. Seuls 15 % des internautes déclarent qu'ils accepteraient le partage de leurs données même contre récompense ou avantage.
La protection des données inquiète nettement moins les Chinois, qui sont 38 % à être prêts à les partager contre récompense, contre 29 % des internautes russes.
Comme l'indique une étude réalisée en 2017 par le cabinet GfK, dans certains pays les internautes se montrent peu sceptiques à l'égard du partage de leurs données personnelles contre une récompense.
Les Français, eux, ne sont pas prêts de renoncer à la confidentialité de leurs données personnelles, d’après les résultats de cette étude menée dans 17 pays. Seuls 15 % des internautes déclarent qu'ils accepteraient le partage de leurs données même contre récompense ou avantage.
La protection des données inquiète nettement moins les Chinois, qui sont 38 % à être prêts à les partager contre récompense, contre 29 % des internautes russes.